L'école de puériculture l'apprentissage des couches pour adulte

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il y a 11 ans

Je m'appelle Alice, j'ai 18 ans et récente bachelière, j'envisage de faire une école de puériculture à la rentrée de septembre. Après des recherches sur internent, j'adresse mon dossier à différentes écoles afin de maximiser mes chances d'intégrer l'une d'entre elles. Fin juillet, après plusieurs échecs du à des notes un peu justes, je reçois enfin une réponse positive d'une école privée située à côté de Limoges. L'école est loin de mon domicile mais propose un pensionnat pour les étudiantes qui le souhaitent, c'est la solution que je choisis, ne pouvant rentrer chez moi qu'à l'occasion des vacances. Un dossier complet d'inscription est joint à la réponse que je dois remplir et adresser à l'administration de l'école Jeanne d'Arc. Le dossier mentionne l'ensemble de l'état civil ainsi qu'un questionnaire de santé et, plus surprenant, demande l'ensemble de mes mensurations. Assez surprise par cette exigence, je passe un coup de fil à l'école pour plus de précisions. Le secrétariat me répond qu'il s'agit tout simplement de prévoir les tailles des blouses et autres vêtements nécessaires dans le cadre des travaux pratiques de l'école. Rassurée par cette réponse, je termine de remplir mon dossier et le poste, impatiente de découvrir dans quelques semaines mon nouvel univers et, pas fâchée de quitter la maison pour entreprendre mes études. Mes parents quant à eux sont rassurés par le fait que l'école Jeanne d'Arc est tenue par des sœurs, gage de sérieux à leurs yeux.

Les vacances d'été passent vite et le jour du départ pour l'école arrive. A l'arrivée du train, j'aperçois sur le quai trois jeunes filles avec un panneau "école Jeanne d'Arc". Je me présente à elles et j'apprends qu'il s'agit d'élèves fraîchement diplômées de l'école qui aident l'administration pour l'accueil des nouvelles étudiantes. Une dizaine d'autres nouvelles attendent déjà sur les bancs du quai. Vingt minutes plus tard, nous sommes au complet, soit 25 nouvelles élèves. Les trois puéricultrices nous escortent jusqu'au car qui nous attend dans la cour de la gare, elles nous indiquent que l'école se situe à 30 kilomètres et que nous avons une grosse demi-heure de bus avant d'arriver. A cette annonce, je déchante un peu car je n'imaginais pas l'école si loin de Limoges que je pensais pouvoir rejoindre régulièrement pour sortir le soir. Après un trajet sans histoires, nous arrivons devant les bâtiments de l'école, large battisse ancienne en pierre avec un haut mur d'enceinte. A l'intérieur, nous sommes accueillies par sœur Thérèse, la directrice de l'école, qui nous souhaite la bienvenue et nous indique que, après le déjeuner, nous procèderons aux inscriptions administratives. Nous rejoignons donc le réfectoire, accompagnées par d'autres "anciennes", qui à ma grande surprise sont toutes présentes à l'école. L'une d'elle, Marie, m'indique que les élèves de 2ème et 3ème années ne reprennent leurs cours que dans 2 semaines et ne sont donc pas encore de retour à l'école. Au cours du repas les langues se délient un peu et je fais connaissance de quelques unes de mes nouvelles camarades. La plupart sont originaires de villes lointaines et seront donc pensionnaires comme moi. Je m'en étonne un peu mais je m'en réjouis finalement car cela nous permettra de mieux nous connaître et d'avoir une vie étudiante plus sympa, je redoutais surtout le fait d'être l'une des rares pensionnaires de la promo.

Le repas achevé, nous nous retrouvons dans une salle de classe. Sœur Thérèse nous remet un exemplaire du règlement intérieur. Dans celui-ci il est précisé que les étudiantes ne doivent pas fumer dans l'école, qu'elles doivent porter les blouses blanches qui nous seront remises cet après-midi, qu'il faut respecter strictement les horaires etc... Puis elle nous annonce que les cours ne commenceront que dans deux semaines et que d'ici là, nous serions en période d'intégration, sous la responsabilité des anciennes. A ces mots, je blêmie et je m'aperçois, en croisant le regard inquiet de quelques nouvelles, que je ne suis pas la seule à redouter cette soit disant période d'intégration. C'est souvent le terme qui à remplacer le sulfureux bizutage dans beaucoup d'écoles. Sœur Thérèse poursuit en expliquant que durant 15 jours nous serons préparées à nos études de puériculture et que le contenu pédagogique de ce programme avait été visé par l'équipe enseignante. Cela rassura visiblement la nouvelle promotion qui imaginait déjà le pire et un soulagement général était aisément perceptible dans l'assistance.

Sœur Thérèse partie, les anciennes prennent le relais et nous indiquent qu'elles vont nous installer dans nos chambres et nous remettre nos vêtements de travail. Nous montons dans les étages et passons devant diverses salles où nous apercevons des tables à langer, des lits à barreaux et beaucoup de matériel de puériculture. Aux derniers étages, se trouvent les chambres de la promo. chaque étudiante a le droit à une grande chambre individuelle plutôt confortable avec un lavabo. Par contre les douches se trouvent à chaque extrémité du couloir, et en les visitant je m'aperçois que se sont des douches collectives, ce qui me déplait car étant pudique, je n'ai jamais aimé m'exposer aux yeux d'autres filles. Je suis brutalement tiré de mes rêveries par Marie qui indique que chaques nouvelles doit maintenant regagner sa chambre, ranger ses habits dans les armoires et s'habiller avec le contenu du carton que nous trouverons chacune sur notre lit en suivant les inscriptions figurant sur notre table de travail. Elle nous donne rendez-vous dans la salle de classe que nous venons de quitter d'ici une heure. Je regagne ma chambre, ferme la porte et commence à ouvrir la valise pour ranger mes affaires. Sur mon lit se trouve comme prévu un carton et je décide de l'ouvrir pour voir quels vêtements je vais devoir porter. Le contenu me laisse sans voix. Je découvre une grenouillère rose de taille adulte, une sucette munie d'un cordon élastique et surtout une couche culotte pour adulte ainsi qu'une couche droite. Je n'en crois pas mes yeux. Je me précipite sur ma table de travail pour lire la feuille de consigne:

"Cher bébé, car c'est ainsi que nous t'appellerons pendant les quinze prochains jours, tu dois maintenant te déshabiller entièrement, t'allonger sur le lit, mettre la couche-culotte garnie de la couche droite, puis enfiler la grenouillère, te mettre sur le ventre et attendre qu'une maman vienne remonter la fermeture éclair de ta grenouillère et mettre les pressions permettant la fermeture de l'entrejambe. Entre-temps tu auras mis la sucette dans ta bouche et passer l'élastique derrière la tête pour la maintenir en place. A tout de suite mon bébé. PS : si tu n'y arrive pas, ce qui serait logique car tu n'as pas encore commencé tes études de puéricultrice, attend que maman viennent t'aider."

Je suis stupéfaite par la tournure des évènements et furieuse de n'avoir rien vu venir. Ce que je redoutais se réalise, malgré les interdictions officielles, l'école Jeanne d'Arc a conservé un bizutage et le dissimule derrière ces deux semaines d'intégration. Le discours de la directrice prouve également que l'école couvre cette pratique, me voila dans de beaux draps. Assise sur le lit, j'observe la couche-culotte et la grenouillère et réalise qu'elles sont bien à ma taille, je comprends ainsi pourquoi l'école avait demandé mes mensurations!

Les idées se bousculent dans ma tête et je réfléchis à l'attitude que je dois adopter. Je n'ai aucune envie de mettre cette couche et cette grenouillère ridicule, même si je saisis le lien de cette humiliation avec les études que j'entreprends. Je me demande surtout combien de temps cette plaisanterie risque de durée et s'il ne s'agit que d'une mauvaise blague de début d'intégration. Dans le doute, je décide d'attendre la suite des évènements.

Dix minutes plus tard, la porte de ma chambre s'ouvre sur trois anciennes dont Marie qui semble diriger le groupe. Elles me trouvent dans mes habits, ma valise non encore défaite, le contenu du carton étalé sur le lit.

  • Bonjour bébé Alice, je vois que tu as besoin de l'aide de maman pour te mettre en tenue"

Je ne me laisse pas prendre au jeu et demande des explications sur la situation en indiquant que je n'ai pas l'intention de me ridiculiser ainsi.

  • Tu as tort de le prendre ainsi me dit Marie, cette épreuve est destinée à échanger les rôles et à faire comprendre aux nouvelles étudiantes l'importance de leurs futures fonctions et du soin nécessaire que demande les bébés. Rien de tel que de vivre pour quelques jours dans la peau de ceux dont tu devras t'occuper par la suite.

J'étais déstabilisée par ces propos, persuadée que les anciennes allaient se jeter sur moi et me déshabiller de force. Sentant mon hésitation, Marie poursuivie :

  • N'ai pas peur, il ne te sera fait fait aucun mal et tu auras toujours la même maman pour s'occuper de toi, il s'agit de Claire, qui sera la seule à te voir nue, excepter maintenant ou nous l'accompagnons.

Je digérai péniblement ces informations et réalisais peu à peu ce qui m'arrivait. Marie, maintenant persuadée que je n'offrirai pas de résistance, commença à déboutonner ma chemise pendant que Claire et Sophie débarrassait le lit de ma valise et du contenu du carton. Après la chemise, Marie passa dans mon dos pour dégrafer mon soutien gorge qui fut prestement enlevé. J'eus à peine le temps de rougir que Claire défaisait mon pantalon et les deux filles m'allongèrent sur le lit. Claire m'enleva ma petite culotte pendant que Sophie inspectait le contenu de ma valise. Dans mes affaires elle découvrit mes serviettes hygiéniques et me dit :

  • Tu utilises des serviettes, tu verras que les couches que nous te mettons sont toutes aussi douces, elles sont simplement plus épaisses et plus couvrantes.

Joignant le geste à la parole, Claire positionna la couche droite dans la couche culotte, me souleva les fesses et glissa la couche de façon experte. Pendant ce temps, Marie en tête de lit me pris les deux poignets et tira légèrement sur mes bras. Sans doute voulait-elle prévenir tout geste de dernière minute pour me dégager. Claire rabbatit difficilement la couche sur mon ventre, cuisses bien écartées. Je ne comprenais pas l'utilité de la couche droite tant la couche-culotte me paraissait déjà très épaisse. Rapidement elle fixa les adhésifs et ajusta les élastiques autour des cuisses puis elle me tapota l'entrejambe en me disant :

  • Tu es un bébé très docile, c'est bien Alice.

J'étais mortifiée par cette remarque mais je n'ai pas eu beaucoup le loisir de la méditer car les anciennes m'enfilaient déjà la grenouillère, d'abord par les pieds qui se terminaient par des chaussons intégrés, puis elles m'assirent sur le lit pour enfiler les bras, eux aussi terminés par des sortes de moufles rigides. Rapidement, je fut mise sur le ventre et Claire mit les pressions qui refermaient le bas sur les fesses puis remonta la fermeture éclair le long du dos jusqu'à la nuque. Ce système permet d'avoir accès à la couche sans enlever le haut de la grenouillère. Un petit clic m'alerta cependant et je réalisais qu'un petit verrou sur la nuque empêchait de redescendre la fermeture éclair. J'allai protester quant Marie termina l'habillage par la sucette dont l'élastique fus ajusté sur ma nuque, sorte de bâillon m'empêchant de parler. En quelques minutes et sans résistance, ces trois filles me tenaient sous leur control. Elles me mirent debout et je réalisa qu'il me sera difficile de marcher normalement avec cette couche si épaisse et que je n'avais quasiment plus l'usage de mes mains à cause des moufles de la grenouillère. Sophie, terminant l'inspection de ma valise, pris mes sous-vêtements et les mis dans un sac en me disant :

  • Tu n'en auras plus besoin, ce sont des choses pour les grandes filles et tu n'es encore qu'un adorable bébé.

Les trois filles, leur mission accomplie, quittèrent la chambre en m'indiquant que Claire, ma nouvelle maman viendrai me rechercher tout à l'heure. Lorsque la porte se referma, j'entendis distinctement le bruit d'un verrou que l'on fermait de l'extérieur. Seule dans ma chambre mon regard croisa la glace de l'armoire et je fondis en larme en me voyant ainsi habillée dans une large grenouillère rose, une sucette dans la bouche et une couche bien visible sous la grenouillère. J'avais beaucoup de mal à m'adapter à cette masse entre mes jambes qui couvrait mon sexe et mes fesses et au bruit de la couche-culotte à peine étouffé par la grenouillère à chaque mouvement de mon corps.

La porte se rouvrit et Claire apparue.

  • Viens mon bébé, me dit-elle, il est temps de rejoindre les autres bébés dans la salle de jeu.

Elle me prit par le bras et je marchais difficilement à ses côtés, nous descendîmes dans une salle au premier étage où je retrouvais l'ensemble de la promotion dans le même état que moi. Beaucoup de filles avaient les yeux rougis par leurs pleurs, mais aucune ne pouvait parler à cause de la sucette qui comme moi leur obstruait la bouche.

Nous étions toutes assises par terre sur des tapis de jeux pour enfants, entourées de jouets et divers cubes pour bébés. Marie entourée des autres anciennes prit la parole :

  • Bienvenue dans le programme d'intégration de l'école Jeanne d'Arc. Vous allez avoir quinze jours devant vous pour mesurer qu'il n'est pas si facile d'être un bébé entièrement dépendant de sa maman pour son biberon, sa toilette et ses couches. Je vous rappelle qu'un bébé ne parle pas, qu'il ne peut pas s'habiller tout seul, qu'il ne mange qu'au biberon ou au sein et qu'il fait pipi et popo dans sa couche. Vous allez avoir la chance d'être prises en charge par des puéricultrices fraîchement diplômées et compétentes, profiter de ces deux semaines pour observer leurs techniques. Bien entendu, pendant cette période d'intégration vous n'aurez aucun contact avec l'extérieur, vos parents ont étés prévenus pour ne pas qu'ils s'inquiètent et attendent de vos nouvelles. Le contenu de cette intégration est un secret de l'école bien gardé et, rassuré vous, personne hormis les membres de l'école, n'en ont connaissance. Je vous rappelle également que les bébés, pour les besoins de leur toilette sont souvent nus devant leur maman ou les autres bébés et que cela ne doit pas être considéré comme une gêne. Chaque maman peut nourrir ou changer un bébé et chaque bébé doit obéir docilement aux mamans. Certaines d'entre vous ont résisté lorsque nous leur avons mis leur tenue, se sera j'espère la dernière fois, car s'il y a parmis vous des bébés difficiles, ils seront punis. Je vous souhaite, chers bébés, un très bon moment.

Sur ces paroles, les anciennes quittèrent la pièce, nous laissant seules avec ce discours en mémoire. Je m'en voulais d'avoir cru qu'il ne s'agissait que d'une farce de courte durée et que seule Claire s'occuperait de moi. La perspective d'être nue devant toutes ces anciennes et même mes collègues de promo me soulevait le cœur. Une autre pensée très désagréable me vient à l'esprit et je réalisai également que non seulement il allait falloir porter ces horribles couches pendant quinze jours mais qu'il faudrait également s'en servir de toilettes ! L'idée de faire pipi et surtout caca dans une couche me révulsait. Moi qui mettais un point d'honneur à avoir toujours des culottes propres et fraîches, l'idée d'une couche souillée me révoltait. J'observai les autres filles dans la salle et beaucoup d'entre elles devaient avoir les mêmes pensées que moi. Certaines pleuraient, d'autres essayaient vainement d'enlever qui leur sucette, qui descendre la fermeture éclair de leur grenouillère pour se libérer. Ce qui était le plus horrible c'est le bruit de plastique si reconnaissable que faisais chaque fille lorsqu'elles bougeaient ou marchaient. Les moufles ne permettaient pas de mouvement précis avec les mains mais juste de saisir maladroitement un objet en le coinçant entre les mains. Nous étions toutes dans une fâcheuse situation, certaines portaient leurs mains à l'entrejambe et l'on comprenait rapidement qu'elles se retenaient déjà de faire pipi dans leur couche. Nous passâmes ainsi le reste de l'après-midi. Fatiguée d'être debout et n'ayant aucune chaise pour s'asseoir, je me suis rapidement assise et c'est dans cette position que je ressentais hélas le mieux la pression de ma couche sur mes fesses. Impossible de l'oublier tant elle est serrée et ajustée sur moi. A la vue de certaines mines déconfites, je compris que plusieurs filles n'avaient pas pu se retenir et avaient fait pipi dans leur couche. J'avais eu la chance d'aller aux toilettes après le repas ce qui me permettait de retarder l'échéance mais je savais que tôt ou tard je devrais aussi céder.

En fin d'après-midi, les anciennes firent leur retour, contentes de retrouver leurs bébés sagement assis. Chaque maman pris son bébé par le bras et l'entraîna vers sa chambre. J'avais beaucoup réfléchi à la situation durant l'après-midi et j'étais résolue à tout tenter pour échapper au programme et à cette situation humiliante. Une fois seules dans la chambre, Claire m'allongea sur le lit, passa derrière moi et me prenant la main droite l'attacha part une menotte déjà reliée au montant du lit. Cela se passa très vite et je ne pus esquisser le moindre mouvement. Avant que je ne réagisse, elle fit de même avec l'autre main. Moi qui rêvais de m'évader me voila attachée à mon lit, beaux débuts. Claire sourie à ma déconvenue et me dit :

  • Tu n'espérais tout de même pas t'échapper, bébé Alice ?

Puis elle gagna le lavabo, remplissant une cuvette, elle revient vers le lit avec une trousse de toilette qu'elle avait prise dans l'armoire. Elle me demanda si j'avais déjà fait pipi dans ma couche et je secouais la tête pour lui dire non. Malgré ma réponse, elle me mit sur le côté et enleva les pressions de la grenouillère sur mes fesses. A nouveau sur le dos, elle libéra chaque jambe de la grenouillère, accédant ainsi à la couche sans me détacher. La couche-culotte était toujours bien en place, malgré mes mouvements de l'après-midi pour desserrer l'étreinte. Claire posa la main sur la couche, avança le visage pour détecter une odeur suspecte et me dit :

  • Bébé Alice a les fesses bien au sec dans ses pampers, je vais te faire essayer toutes les couches dont nous disposons ici à l'école.

Se faisant, elle s'écarte du lit et ouvre l'armoire et je découvre avec effroi que tous les rayonnages sont remplis de couches de formes diverses. Elle en choisi une, elle revient vers moi et la pose sur une desserte ou se trouve déjà la cuvette et la trousse de toilette. Revenant vers ma couche, elle coupe au ciseau les adhésifs et rabat la couche.

  • Comme tu peux le constater nous utilisons des couches avec des adhésifs spéciaux pour que le bébé ne puisse pas les enlever, il s'en serve dans les maisons de retraite.

Je suis maintenant nue, avec la couche-culotte et la couche droite toujours sous mes fesses devant cette fille que je ne connaissais pas il y a encore quelques heures. Elle observe attentivement mon minou et passe ses doigts dans mes poils. Je frissonne et observe médusée la scène sans pouvoir rien faire.

  • Les bébés n'ont pas de poils sur le minou, me dit-elle, je vais te raser le pubis car le frottement répété de la couche pourrait t'irriter. Je te conseille de ne pas bouger, bébé Alice.

Elle sorte de la trousse de toilette de la mousse à raser, un rasoir jetable et après avoir mouillé mon pubis et appliqué la mousse, commence à me raser méthodiquement. Une fois l'opération terminée, elle sort une lingette et me nettoie délicatement le sexe. Je réalise ce que c'est d'être traité comme un bébé mais surtout d'en avoir conscience. Claire prend ensuite du talc et me soupoudre le pubis ainsi rasé et lisse et l'étale avec ses doigts. Cela me procure une étrange sensation et m'agace car je n'ai jamais aimé être tripoté par qui que ce soit, spécialement sur mes parties les plus intimes.

Claire satisfaite de son travail retire ma couche et m'en glisse une nouvelle, tout aussi épaisse qu'elle fixe de façon experte. Elle me remet ma grenouillère et finalement me détache les poignets. Elle m'aide à m'asseoir sur le lit et me demande ce que je veux pour mon dîner. Ne pouvant pas parler à causes de la sucette, seul un marmonnement sort de ma bouche. A ma plus grande stupéfaction, elle me propose le biberon ou le sein. C'est décidément un cauchemar, je pensais avoir mal entendu mais elle me dit finalement :

  • Pour ce soir se sera un biberon, on verra pour la suite.

Elle quitte la chambre et referme le verrou derrière elle. J'ai un peu de répit pour réfléchir à la situation et je dois me rendre à l'évidence, je suis belle et bien prisonnière dans ma grenouillère et je n'ai aucune chance d'échapper à mon sort. Je repense alors au dîner et à la proposition de Claire et l'idée de devoir téter le sein d'une femme me glace d'effroi. Moi qui ai toujours décliné le moindre attouchement entre filles, cette seule idée me révulsant !

Je n'ai pas le temps de poursuivre mes pensées car Claire revient avec un biberon dans les mains. Elle se place sur le lit derrière moi, me retire ma sucette et m'enfourne aussitôt la tétine dans la bouche. Je détourne la tête mais elle me pince le nez et lorsque je reprends ma respiration me remet la tétine dans la bouche en m'ordonnant d'être gentille. La tête en arrière et le nez toujours pincé je déglutis et le lait commence à couler dans ma bouche. De sa main gauche, Claire me masse le ventre pendant que je bois mon biberon vaincu.

  • Tu ne devrais pas te retenir de faire pipi me dit-elle, cela va te faire mal au ventre pour rien.

Sa main descend plus bas et elle me masse légèrement la couche au travers de la grenouillère.

  • Ta couche est là pour çà, me dit-elle.

Mes pensées reviennent de plus belles sur ma couche et la nouvelle sensation que j'éprouve à entrejambe. Mon pubis rasé est beaucoup plus sensible maintenant au contact pressant de la couche et cela est très agaçant.

Mon biberon fini et ma tétine remise en place, claire m'allonge à nouveau sur le lit, ouvre la porte du fond de la chambre et en ressort un lit à barreaux de taille adulte. Elle me met debout, descend une barrière latérale, me fait monter dans le nouveau lit et remet la barrière en place. Ce que je n'avais pas vu c'est que de l'autre côté se trouve la grille qui couvre et ferme le lit. Claire la rabat et verrouille à l'aide d'un cadenas. De mieux en mieux, je suis maintenant enfermée dans un lit à barreaux.

  • Bonne nuit mon bébé, me dit-elle.

Je suis maintenant seule dans ma chambre et si je n'avais pas le contact permanent de cette maudite couche et de cette horrible grenouillère je pourrai encore penser que tout ceci n'est qu'un mauvais rêve. Je trouve finalement le sommeil.

Chapitre 2

Le lendemain matin au réveil, je comprends immédiatement que j'ai fait pipi dans ma couche. Je n'ai pas de sensation d'humidité, mais l'odeur caractéristique et la moindre pression relative de la couche sur mon sexe ne laissent aucun doute. Je me sens particulièrement sale et je suis effrayée à l'idée que j'ai pu faire cela sans même me réveiller.

La porte de la chambre s'ouvre sur Claire et une jeune femme que je n'avais pas vue hier à l'école.

  • Bonjour bébé Alice, je vois que l'on a fait un gros dodo.

S'approchant du lit, elle ajoute :

  • Je vois aussi que cette fois-ci on a fait pipi dans sa couche, c'est très bien mon bébé. Je suis affligée par cette façon de me parler, mais Claire ajoute :
  • C'est Maman Aline qui va te changer et te donner le petit déjeuner ce matin. Quelques minutes plus tard je suis à nouveau exposée au regard d'une inconnue sur mes parties les plus intimes et, sentant ma gêne, j'ai l'impression qu'Aline prend un malin plaisir à passer et repasser sa lingette sur ma vulve. J'ai horreur de cela.

Finalement, elle prend une couche dans l'armoire et ajoute à destination de Claire :

  • Je vais mettre une maxi couche droite en plus de la couche-culotte, car ton bébé a vraiment bien mouillé sa couche cette nuit, je ne voudrai pas qu'elle ait des fuites.

Après avoir mis ma couche, Aline a le même geste que Claire et qui m'agace, à savoir de tapoter mon entre-jambe. Claire intervient sur ce et me dit le plus naturellement du monde :

  • Aline est venue ce matin car elle va te donner le sein mon bébé, c'est important pour ta croissance.

J'essais de sortir du lit pour échapper à cette idée qui me dégoûte, mais Claire se place derrière moi, assise sur le lit et me tient les bras en arrière pendant qu'Alice dégrafe sous soutien gorge et s'avance vers moi. Elle enlève prestement ma sucette et me colle la bouche sur son sein droit. J'essais de détourner la tête mais là encore, Aline a vite fait de me pincer le nez pour m'obliger à téter. C'est vraiment un cauchemar et rapidement les premières gouttes de lait tombent dans ma bouche. Le goût est horrible, mais impossible de me dégager. La séance dure dix longues minutes puis la sucette reprend sa place et les deux femmes quittent ma chambre.

A midi c'est une autre jeune femme qui rentre dans ma chambre, elle est accompagnée par une fille de ma promo portant grenouillère et couche comme nous toutes. Elle se dirige vers l'armoire, prend une couche et de quoi me changer et reviens vers le lit ou je suis assise. La nouvelle venue me demande si je vais être sage ou si elle doit m'attacher les mains aux montants du lit. Je réponds non de la tête et je me laisse changer docilement sous le regard de ma condisciple qui se trémousse et se tient la couche entre les mains, ayant visiblement du mal à se retenir de mouiller sa couche. Puis vient le biberon selon le rituel habituel.

En fin d'après-midi, ce que je redoutais le plus arrive. Je viens de faire caca dans ma couche, presque sans pouvoir me retenir, mes selles étant assez liquides du fait de la nourriture que l'on me donne. L'horrible mixture se repend dans ma couche et sur mes fesses, la sensation est vraiment pénible.

Le soir c'est à nouveau Claire qui entre dans ma chambre. Elle constate rapidement mon état et à ma grande surprise m'enlève ma tétine sans pour autant me nourrir. Elle s'assoit sur le bord du lit et m'explique que maintenant que j'ai fait pipi et popo dans ma couche, je pouvais disposer de plus de liberté si j'acceptais de continuer à jouer le jeux et de promettre de rester docile comme le bébé que je suis. Elle me prévient cependant que je n'aurai aucune chance d'échapper au programme prévu jusqu'à la fin. J'ai du mal à articuler une réponse, ayant été bâillonnée depuis la veille, mais j'accepte cependant sa proposition à condition de ne plus avoir à prendre le sein, chose qui m'avait particulièrement déplu. Elle sourie à cette remarque et accepte. Rapidement elle m'enlève la grenouillère, puis la couche et me propose de prendre une douche dans la salle de bain attenante.

C'est un véritable moment de plaisir de pouvoir prendre une douche après avoir mariné deux jours dans cette grenouillère. Claire m'accompagne cependant dans la salle de bain et je suis obligée de me doucher devant elle, mais c'est une moindre chose par rapport à ce que j'ai vécu.

De retour dans la chambre, elle me demande de m'allonger sur le lit. Je suis cette fois complètement nue devant elle, et immédiatement je rougis n'arrivant pas à me faire à cette situation. Rapidement elle me met à nouveau une couche et sort de ma valise qui est réapparue un de mes pyjama. Elle enfile le bas et le remonte sur ma couche puis je passe seule le haut. La couche est très serrée mais je me sens quand même mieux et plus libre que dans la grenouillère. Avant de quitter la chambre Claire me prévient de ne pas chercher à enlever ma couche. Je réponds oui et je m'endors rapidement.

Le lendemain je suis à nouveau trempée comme si j'avais fait pipi plusieurs fois dans la nuit. Claire arrive rapidement avec un vrai petit déjeuner sur un plateau. Elle me demande si je suis mouillée et à ma réponse me propose de me changer après le petit déjeuner. Je m'inquiète de ne plus pouvoir me contrôler et je demande à Claire si c'est normal. Elle me répond que cela arrive et qu'il faut parfois quelques jours après la fin de l'intégration pour retrouver le control de sa vessie. Je reste un peu inquiète suite à cette réponse et les jours se passent maintenant de façon moins désagréable.

Dans la journée, je peux maintenant discuter, lire et regarder la télé avec les filles de ma promo qui ont accepté d'être dociles comme moi. Seules quelques filles résistent et nous sommes régulièrement conviées à les voir se faire changer leurs couches ou prendre le sein.

Tout sentiment d'humiliation n'a cependant pas disparu car bien qu'habiller dorénavant en blouse blanche, nous portons toujours d'épaisses couches jour et nuit. Ce qui me touche le plus c'est que les anciennes peuvent à tout moment soulever notre blouse et palper nos couches pour savoir si nous devons être changées. Aline, devinant que cela me déplait particulièrement se fait un malin plaisir d'arriver derrière moi, me poser une main sur le ventre et avec l'autre tâter ma couche dans l'espoir que je doive être changée.

Nous arrivons maintenant au terme de la période d'intégration. Nous sommes toutes convoquées une par une devant la directrice flanquée de quelques anciennes. Lorsque vient mon tour, la directrice m'indique que la période d'intégration est maintenant terminée et que les cours commencent demain. Elle se retourne vers Claire et lui demande s'il sera nécessaire que je conserve des couches pour quelques jours. Celle ci répond que j'en aurai besoin encore pour quelques nuits seulement puis elle m'accompagne jusqu'à ma chambre avec Aline. Une fois dans la chambre, je constate la présence d'une télé reliée à un magnétoscope. Claire me demande de m'asseoir sur le lit et met le magnétoscope en route. Sur l'écran apparaissent très vite les images des filles de ma promo, en couches et grenouillères, les unes dont on change la couche souillée, les autres au sein. Je découvre éberluée que nous avons été filmées pendant toute la période à notre insu. C'est maintenant moi qui apparais à l'écran dans les mêmes situations, puis d'autres scènes apparaissent où l'on voit des filles gémir lorsque la lingette s'attarde trop sur les parties intimes, des doigts pénétrer des vulves, et des mains caresser des seins dardés. Je suis extrêmement mal à l'aise à la vue de ses images et Aline et Claire qui le savent bien sourient en me dévisageant.

La cassette s'arrête et Aline me demande ce que penserait ma famille et mes amis s'ils me voyaient ainsi. Je suis pétrifiée, mais je trouve cependant la force de dire que j'y étais forcée et qu'ils s'en rendraient bien compte. Claire remet la cassette en route et j'apparais à nouveau à l'écran. Je reconnais le jour ou sortant de la douche Claire me mets une couche et mon pyjama avant de me souhaiter une bonne nuit. Je ne suis pas attachée et je me laisse faire comme si j'étais réellement incontinente et qu'une amie me mettait une couche à ma demande. Aline et Claire sont diaboliques et je suis complètement piégée. La cassette s'arrête et je leur demande ce qu'elles attendent de moi. Aline s'assoit à côté de moi sur le lit et dans ce geste que je ne supporte pas commence à me caresser la couche sous la blouse.

  • Cela fait deux semaines que tu portes des couches jour et nuit sans pouvoir te toucher. J'ai pu constater comme Claire que tu n'appréciais pas le contact des filles, mais dans l'état d'excitation ou tu dois te trouver, je suis sur que tu apprécieras quelques caresses. C'est ton épreuve finale avant la fin de l'intégration.

Voila où elles voulaient en venir et pour appuyer ces propos, Aline remet en route le magnétoscope et l'on me voit à nouveau la main dans le pyjama en train d'essayer vainement de la glisser dans ma couche. Je suis tétanisée par ces images et, profitant de la situation, Claire se met en tête de lit, me prend les mains pendant qu'Aline défait ma couche qu'elle sait propre et me glisse rapidement un doigt puis deux dans le vagin. Je me débats en vain pendant que Claire m'attache aux montants par les pieds et les mains. Aline déboutonne ma blouse et colle sa bouche à la mienne tout en me caressant la vulve. Puis aussi soudainement, elle se retire et se dirige vers l'armoire pour prendre une couche neuve. Elle prend également comme à son habitude une couche droite très épaisse et glisse le tout sous mes fesses. Je suis intriguée par la tournure des évènements mais soulagée de m'en tirer à si bon compte. Elle dit à Claire :

  • Décidément, ce bébé ne sait pas si qui est bon, si elle préfère les garçons elle a bien tort mais nous allons lui donner un avant goût à cette petite sotte.

Je me retourne et vois Claire avec un vibromasseur dans la main. Je cris en réalisant ce qui va m'arriver, mais Aline me met un bâillon boule dans la bouche pour étouffer mes cris. Claire lentement s'approche de mon sexe et introduit le vibro dans mon vagin malgré mes mouvements désespérés pour l'en empêcher. Je sens distinctement l'objet rentrer en moi sans rien pouvoir faire. Il est maintenant au fond de mon vagin et seul le fil le reliant au boîtier est maintenant visible. Cet objet me viole et me fait mal, je gémis dans mon bâillon pendant que Claire referme l'épaisse couche sur mon ventre. C'est alors qu'Aline prend le boîtier et met le vibro en route tout en me massant la couche. La douleur est terrible puis elle se transforme en plaisir incontrôlable. Claire me retire le bâillon pour entendre mes gémissements maintenant explicites, puis me détache les bras et les jambes au moment ou je suis secouée par un violent orgasme. La scène n'a pas échappé à une autre ancienne rentrée discrètement dans la chambre, ni à son caméscope. Je suis vidée par ce qui vient de m'arriver, mais déjà les deux filles me rattachent au lit et Claire défait ma couche trempée de sueur. Elle tire délicatement sur le fil du vibro qui apparaît luisant de mes sécrétions intimes. Reprenant lentement mes esprits, je me rends compte que je suis maintenant filmée dans cette situation extrêmement humiliante.

Je ne suis pas au bout de mes surprises, car voici Claire qui, ayant retiré complètement le vibro et la couche, me nettoie le sexe avec une lingette. Elle ne se gène plus pour bien entrer dans mon vagin en écartant mes lèvres ce qui me fait à nouveau de l'effet et je pousse des petits cris qui amusent beaucoup les filles présentes.

  • Je suis contente qui tu y prennes goût, me dit Aline, car tu vas bientôt comprendre pourquoi la plupart d'entre nous sont lesbiennes.

Ne comprenant pas le sens de ses paroles, je constate que Claire qui s'était absentée quelques minutes revient avec une étrange boîte métallique. Elle l'ouvre et en sort un objet que je n'identifie pas immédiatement. Elle s'approche du lit et je découvre une ceinture de chasteté munie d'un god vaginal. C'est Aline qui me donne l'explication. Les sœurs qui dirigent l'école ont trouvé cette solution pour éviter aux étudiantes toutes tentations et faire en sorte qu'elles étudient sérieusement en vue de l'obtention de leur diplôme. Ayant fait elles-mêmes vœux de chasteté, elles entendent bien que leurs étudiantes ne puissent pas avoir de relations sexuelles, au moins durant leurs études. C'est décidément pour moi le jour de toutes les mauvaises surprises, car je comprends que cette ceinture m'est destinée et je suis à nouveau attachée sur le lit à la merci des ces filles perverses.

  • Tu as cependant le choix, me dit Claire, de continuer à porter une couche car, comme tu as pu le constater ces quinze derniers jours, tout sexe ou toute caresse est impossible ce qui est le but recherché. Tu dois cependant essayer la ceinture pour te faire une idée.

Aussitôt elle s'approche du lit et glisse un doigt dans mon vagin avant de le retirer pour faire pénétrer le god de la ceinture. L'apercevant de plus prêt je constate qu'il y a un trou fin au centre, sans doute pour permettre de faire pipi sans l'enlever. Je suis tirée de mes réflexions par le god que Claire m'enfonce plus profondément dans le vagin. C'est pire que le vibro de tout à l'heure car le god est non seulement plus large mais aussi plus long. Lorsqu'il est bien en place, Claire tire sur les lanières et les fixes sur ma taille puis me tournant sur le côté verrouille le cadenas se trouvant dans mon dos.

Je suis enfin détachée définitivement du lit et à peine debout, je tire frénétiquement sur la ceinture pour essayer de l'enlevée. Rien à faire ces filles sont aussi douées pour mettre une ceinture que des couches. La sensation est horrible, j'ai l'impression qu'un sexe me pénètre de façon permanente jusqu'à la garde. Aline me donne maintenant un sac qui contient mes sous-vêtements. Je vais pouvoir enfin porter culotte et soutient gorge, mais avec cette ceinture le cœur n'y est vraiment pas.

Les deux filles quittent la pièce en m'informant que j'ai jusqu'à ce soir pour réfléchir à ma décision entre couche ou ceinture mais que ce choix sera définitif pour le reste de la scolarité. Moi qui pensais que la fin de la période d'intégration me permettrait enfin de retrouver une vie normale et pouvoir profiter de ma nouvelle vie d'étudiante loin de la maison familiale, je suis cruellement déçue. Me voila devoir choisir entre deux choses horribles et ce jusqu'à la fin de mes études de puériculture. Cette école est décidément vraiment hors normes et dire que mes parents étaient rassurés par la présence de sœurs à la tête de cette institution ! Je marche de long en large dans ma chambre mais chaque mouvement me rappelle la présence de cette ceinture et surtout du godemiché, impossible de l'oublier. Ce sentiment de viol permanent est insupportable mais je dois tout de même reconnaître que la ceinture présente l'énorme avantage de la discrétion, car elle invisible sous les vêtements. Elle permet également d'aller aux toilettes, ce qui n'est pas négligeable. D'un autre côté, la couche est quasiment invisible sous les blouses que nous portons en permanence à l'école et son contact est nettement plus doux. Force est de constater que sur la fin de la période d'intégration, je me suis finalement habituée petit à petit à cette présence, d'autant qu'il existe des couches beaucoup plus fines que celles utilisées par les anciennes. J'en ai vu plusieurs sortes dans les différentes réserves de l'école en taille adulte, j'en conclue qu'elles doivent être utilisées par celles qui choisissent l'option couche. Je décide finalement de profiter du dîner de ce soir pour en parler à Virginie, une fille de ma promo dont je suis assez proche pour connaître son avis car je me méfie dorénavant des réponses que pourraient me donner les anciennes.

Je suis toujours très partagée lorsque Claire entre dans ma chambre avec un plateau repas ainsi qu'une enveloppe. Elle dépose le plateau sur la table et me donne l'enveloppe en m'expliquant qu'il s'agit du document que je dois remplir pour exprimer mon choix définitif et qu'elle passera le reprendre dans une heure. C'est un choix que tu dois faire seule me dit-elle avant de quitter la chambre. Je suis déçue de ne pas demander à Virginie qu'elle est son choix avant de faire le mien. Je lis le document qui comporte deux cases à cocher, l'une pour l'option couche, l'autre pour l'option ceinture, puis une signature est requise en bas du document. Je suis toujours partagée sur la réponse puis je réalise que je vais sûrement mettre un peu de temps à retrouver le contrôle de ma vessie la nuit, contrôle perdu assez rapidement après quelques jours en couches, je ne vais donc pas cumuler les désagréments de la couche et de la ceinture, qui j'en suis sûr ne me sera pas retirée pour la nuit. La présence du godemiché dans mon vagin fini par me persuader que la couche est la moins mauvaise des solutions. Je coche donc la case "couche" et signe le document avant de manger le contenu du plateau repas.

J'ai à peine finie de manger qu'Aline et Claire, accompagnées de Marie rentre dans ma chambre. Marie prend le document sur mon bureau et me dit :

  • Je constate que tu as choisi de prendre l'option couche, c'est un bon choix Alice.

Je vois un sourire poindre sur les visages des anciennes que je n'arrive pas à analyser. Claire sort la clef de ma ceinture de sa poche et me demande de m'allonger sur le lit à plat ventre. Je m'exécute, et ma blouse est retroussée puis Claire me retire la culotte que je n'aurais gardée que quelques heures. Elle déverrouille ma ceinture puis me retourne sur le ventre. Elle me fait écarter les cuisses et retire lentement le god de mon vagin. Contrairement au vibro-masseur, celui-ci est sec car il ne m'a absolument pas généré de plaisir. Malheureusement pour moi, c'est Aline qui vient de prendre dans l'armoire une couche-culotte et comme à son habitude, elle a choisi un modèle épais qu'elle garnit de deux couches droites supplémentaires. Moi qui espérais des couches plus fines, je suis servie. Pendant ce temps Claire défait ma blouse et me retire mon soutien gorge. Aline place la couche sous mes fesses et la fixe rapidement. L'épaisseur m'interdit de fermer les cuisses et Aline ne peut pas enfiler mon bas de pyjama qui s'avère nettement trop juste à la taille. Elle le remplace donc par une de mes chemises de nuit. Marie intervient et dit :

  • Je ne suis pas étonnée de ton choix, car j'ai remarqué que la plupart des filles qui utilisent des tampons sont plutôt vaginales et préfèrent la ceinture alors que celles qui utilisent des serviettes s'accommodent mieux des couches.

Claire me souhaite une bonne nuit et m'indique qu'elle viendra me changer demain matin avant le petit déjeuner.

  • C'est un grand jour, car c'est la rentrée des classes et tu vas découvrir les étudiantes de 2ème et 3ème années ainsi que les professeurs de l'école.

Plus habituée aux couches qu'à la ceinture, je m'endors rapidement en pensant à la journée de demain et à ce que j'allais encore découvrir.

Le lendemain matin, je suis réveillée par Claire qui se trouve déjà dans ma chambre, ouvrant l'armoire à la recherche d'une couche propre pour me changer. Ma couche est lourde, largement mouillée durant la nuit sans pour autant que je m'en aperçoive et cela commence à me tracasser. Claire défait ma couche et me nettoie minutieusement avec une lingette. Involontairement, je pousse un petit cri de plaisir et Claire relève en disant :

  • C'est dommage que je doive quitter l'école dès demain, car je vois que nous aurions pu nous amuser toutes les deux.

Je ne dis mot mais réalise qu'avec le départ des anciennes, je me demande qui va me changer à l'avenir, je n'ose espérer être autorisée à changer moi-même ma couche. Claire poursuit :

  • Tu es très mignonne Alice, tu feras bientôt des ravages.

Puis elle termine de me mettre une couche propre qui sans être aussi épaisse que celle d'hier soir n'est pas encore un modèle plus discret comme je l'espérais. Claire m'aide ensuite à enfiler ma blouse.

Nous descendons ensemble et retrouvons le reste de ma promo dans la salle principale. Nos blouses étant assez amples, j'ai du mal à en être certaine, mais il me semble que plusieurs filles de ma promo ne portent plus de couches, j'en conclus qu'elles ont opté pour la ceinture. Je ne vois pas Virginie pour lui demander son choix et le silence se fait lorsque sœur Thérèse rentre dans la pièce. Celle-ci est accompagnée par huit femmes d'âges différents qu'elle nous présente comme étant nos nouveaux professeurs.

Chacune est spécialisée dans les différentes disciplines de la puériculture, de la pédagogie des jeunes enfants, aux cours pratiques sur les soins etc. Puis elle fait l'appel des vingt-cinq filles de la promo et indique pour chacune le choix que nous avons fait la veille. A ma grande surprise, je constate que nous ne sommes que cinq à avoir fait le choix des couches par rapport à la ceinture. Virginie, mon amie a elle aussi choisie la ceinture. Autre détail troublant, je réalise également que se sont surtout les plus jolies d'entre nous qui resterons en couches.

Je suis très mal à l'aise et n'écoute plus que d'une oreille les horaires de nos futurs cours lorsque je croise le regard posé sur moi d'un des professeurs, Mademoiselle Smith, responsable des travaux pratiques. Mon attention revient lorsque j'entends que les deux infirmières sont disponibles pour changer les couches entre deux cours ou avant les repas et qu'elles passeront chaque soir et chaque matin dans les chambres des élèves concernées. Sœur Thérèse conclue et nous invite à rejoindre la cour où se trouvent déjà les élèves des deux autres promos, fraîchement revenues de vacances.

Lorsque je me retrouve dans la cour, je me précipite sur Virginie et lui demande pourquoi elle a fait le choix de la ceinture. Celle-ci me répond que c'est beaucoup plus confortable et qu'elle peut enfin utiliser les toilettes se dont elle ne se prive pas depuis hier soir.

  • Plus confortable ? lui dis-je, mais le godemiché !
  • Quel godemiché ? me fait-elle surprise.

Elle me propose de la suivre aux toilettes pour me montrer sa ceinture et je la suis prestement. Une fois seules dans les toilettes, elle relève sa blouse, baisse sa culotte et je découvre sa ceinture. Celle ci couvre entièrement et efficacement sa vulve mais pas de trace de godemiché Ce n'est pas du tout le même modèle que celui que je portais la veille au soir. J'explique cela à Virginie et nous comprenons maintenant mieux nos choix respectifs. Je suis furieuse contre les anciennes mais je n'aurai pas d'explication car leur tache accomplie, elles viennent de quitter définitivement l'école.

Dans la cour, j'aborde une autre fille de ma promo qui elle aussi a choisi de rester en couche et je comprends qu'on lui a également fait essayer une ceinture munie d'un god, tout s'explique ! Même si je n'ai pas de certitudes, il me semble que certaines jolies filles des deux autres promos portent elles aussi des couches.

La cloche retentie et nous nous dirigeons vers le premier cours de la journée. C'est Mademoiselle Smith qui nous accueille et qui sera notre professeur principal. Avec elle, nous ferons les travaux pratiques.

  • Ma spécialité, se sont les couches, nous indique-t-elle. A cet effet et comme nous ne pouvons pas à l'école nous exercer sur des bébés, nous profiterons de celles d'entre vous qui avez choisi les couches pour les travaux pratiques.

Sourire dans la promo pour celles qui se félicitent d'avoir choisi la ceinture et mines déconfites pour les cinq, dont moi, qui resteront en couches. Elle nous demande ensuite de la rejoindre sur l'estrade. Alignées côte à côte, Mademoiselle Smith passe dans notre dos et une à une soulève notre blouse et tâte notre couche de façon très sure. J'ai la chance que ma couche soit encore propre, ce qui n'est pas le cas de ma voisine Emilie qui est retenue au tableau pendant que nous regagnons nos places.

Le professeur amène sur l'estrade une véritable table à langée mais de taille adulte. Emilie fond en larmes, ce qui laisse mademoiselle Smith totalement indifférente. Elle aide l'infortunée jeune fille à se hisser sur la table. Emilie est maintenant assise sur la table. Le professeur déboutonne sa blouse puis lui retire son soutien gorge. Emilie ne porte plus que sa couche.

  • Pourquoi pleures-tu ? demande le professeur, tu as un très joli corps dont tu peux être fière et nous ne sommes qu'entre filles.

Elle pose ensuite sa main sur sa poitrine et la poussant, la force à s'allonger. Emilie est maintenant complètement allongée sur la table, les bras ballants et les jambes légèrement écartées par sa couche. Elle va maintenant être changée devant toute la promo et détourne la tête vers le tableau pour ne pas voir toute la classe la regarder dans cette position si humiliante. Le professeur défait sa couche et la retire prestement. Elle force Emilie à lever puis écarter les jambes puis tourne la table vers la classe et s'écarte pour que nous puissions parfaitement voir les fesses et entrejambe d'Emilie. Avec une lingette, elle nettoya longuement la partie du corps en contact avec la couche mouillée puis elle mit de la crème sur deux doigts et massa la vulve et l'anus de l'infortunée jeune fille. Elle termina l'opération par un saupoudrage de talc puis remis une couche propre sur les fesses d'Emilie. Je constatais au passage qu'il n'était toujours pas question de couches fines et plus discrètes, mais d'un des modèles utilisés par les anciennes jusqu'à présent.

La pauvre Emilie regagna sa place avec son soutien gorge et sa blouse sous le bras, la tête basse. Le cours se poursuivi par une présentation de différents modèles de couches que nous serions amenées à utiliser lors des stages. Présentant les nouveaux modèles plus fins récemment mis au point elle nous indiqua qu'ils n'avaient pas sa préférence car bien que très absorbant, ils se révèlent trop discrets et les enfants les confondent vite avec des sous-vêtements. Selon Mademoiselle Smith cela retarde d'autant leur propreté car si une couche doit être confortable il faut cependant qu'elle gène suffisamment l'enfant pour qu'il ait l'envie de l'enlever et donc d'être propre.

  • Je vous les montre, mais nous ne les utilisons pas ici dans le cadre de l'école.

Moi qui espérais échapper aux couches trop visibles, me voila prévenue!

Le cours prend fin, et la journée se poursuit avec d'autres cours.

En fin d'après-midi ma couche est mouillée et je regarde avec envie les autres filles se rendre aux toilettes, je n'ai cependant pas envie d'aller à l'infirmerie pour me faire changer.

Après le dîner, je regagne rapidement ma chambre. Je m'allonge sur le lit épuisé nerveusement par cette journée à nouveau riche en mauvaises nouvelles. Je fais à nouveau pipi dans ma couche, presque machinalement. Je me demande bien ce qui peut encore m'arriver dans cette maudite école et je pense à la lettre enthousiaste que j'ai écrite à mes parents ne pouvant leur dire ce qui se passe réellement ici.

Une heure plus tard, tandis que je lis dans ma chambre en pyjama, ce n'est pas une des deux infirmières qui pénètre dans ma chambre comme je m'y attendais mais mademoiselle Smith. Elle ferme la porte derrière elle et vient s'asseoir sur le bord du lit.

  • Bonsoir Alice, je suis très heureuse de faire ta connaissance, dit-elle.

Sans un mot de plus, elle avance sa main vers ma couche et, la touchant, constate que je suis mouillée.

  • Je vais te changer tout de suite, tu seras plus à l'aise les fesses bien au sec.

Ce faisant, elle me demande de retirer mon haut de pyjama. Je m'exécute ne comprenant pas pourquoi elle me demande de l'enlever car celui-ci ne la gêne en rien pour accéder à ma couche. Elle me retire le bas de pyjama puis la couche. Elle m'observe ensuite longuement, allongée nue sur mon lit. Elle me demande ensuite de me mettre sur le ventre. Elle me caresse les fesses et me dit :

  • Tu es très mignonne, Alice. Tu n'as pas beaucoup de poitrine, mais de très jolies petites fesses bien fermes et lisses. Tu corresponds parfaitement à la description que m'a faite Claire.

Je suis surprise par ces propos équivoques et me demande quel peut être le lien entre mon professeur et Claire. Elle me demande de me mettre à nouveau sur le dos et me met une couche propre sans pour autant me remettre mon pyjama. Je n'ose pas le faire moi-même et j'attends la suite. Je ne suis pas déçue. J'apprends que chaque année, les anciennes, à la demande de mademoiselle Smith, sélectionnent les plus jolies filles de la nouvelle promotion et s'arrangent grâce à la ceinture godemiché pour leur faire choisir de rester en couches. Car mademoiselle Smith a besoin de "volontaires" pour ses cours et qu'elle a horreur de changer les couches de filles disgracieuses aux fesses molles et aux cuisses grasses.

  • De plus, me dit-elle, les clefs des ceintures de chasteté sont entre les mains de soeur Thérèse, ce qui interdit tous jeux sexuels avec les filles les portant, alors que les couches doivent nécessairement être changées plusieurs fois par jour...

Sur ces paroles, elle m'embrasse sur la joue et me souhaite une bonne nuit. J'ai beaucoup de mal à m'endormir et repense sans cesse aux paroles de mademoiselle Smith. Je la soupçonne d'aimer les jeunes filles et que, Claire lui ayant indiqué mon aversion pour les jeux lesbiens, elle ait particulièrement envie de me mettre dans son lit.

Le lendemain matin, malgré l'heure matinale, c'est encore elle qui pénètre dans ma chambre et change ma couche cette fois ci sans un mot.

La journée se déroule normalement, les cours se succédant. Le lendemain, nous avons à nouveau un TP avec mademoiselle Smith et lorsque nous pénétrons dans la salle, je remarque tout de suite cinq tables à langer, disposées dans la pièce. Je comprends qu'avec les quatre autres filles de la promo également en couche, je vais devoir servir de modèle vivant à mes camarades pour s'exercer aux changements de couches d'un bébé. C'est effectivement le programme prévu et les filles en ceinture, par groupe de quatre, se disposent autour des tables. Emilie, Jeanne, Laure, Lisa et moi prenons place sur les tables résignées. Une première élève retrousse ma blouse jusqu'à la poitrine et défait ma couche, heureusement encore propre puis, me nettoie, me crème et me talc avant de me remettre une nouvelle couche. Les filles de ma promo connaissent trop bien le côté désagréable de la chose pour en rajouter, mais je suis toujours aussi mal à l'aise d'être ainsi dévoilée aux yeux des autres. Les trois autres filles font de même puis les groupes tournent pour, d'après mademoiselle Smith, s'habituer à différentes morphologies. Je suis très sceptique quant à cette explication, car le point commun que nous avons toutes les cinq est justement une morphologie similaire avec des fesses rondes mais menues, une taille fine, et une silhouette encore très enfant sans trop de formes. En l'espace de deux heures, c'est vingt filles que je vois défiler entre mes jambes, détaillant mon intimité sans limites.

Le fait de conserver des couches m'éloigne quelque peu de Virginie et des autres filles en ceinture mais me rapproche des quatre autres filles, Emilie, Jeanne, Laure et Lisa. Nous nous retrouvons régulièrement après les cours ou à l'infirmerie où Catherine et Stéphanie, deux jeunes infirmières nous changent à la demande. En discutant, je constate que comme moi elles ne se contrôlent plus la nuit, mais par contre nous développons une tactique pour rendre la vie en couche plus confortable. Dans la journée, nous ne faisons dans nos couches que quelques minutes avant de pouvoir aller nous faire changer à l'infirmerie, ce qui réduit le temps de port d'une couche mouillée ou, pire, souillée. Le port d'une couche propre est maintenant presque naturel pour nous, trois semaines après notre arrivée à l'école. Nous échangeons aussi nos impressions sur mademoiselle Smith dans les propos nous ont toutes alerté au début mais qui bien que sévère, s'occupe beaucoup de nous cinq sans gestes ni attitudes déplacées. Nous avons appris que cette belle femme à qui nous donnons environ 35 ans, est la seule de nos professeurs à habituer une maison toute proche de l'école alors que les autres professeurs habitent manifestement la plupart à Limoges.

Chapitre 3

Nous sommes vendredi et l'école propose aux élèves de notre promo de nous accompagner demain en car jusqu'à Limoges, où nous pourrons librement visiter la ville et faire du shopping. Les élèves sont enthousiastes à l'idée de sortir enfin des murs de l'école, trois semaines après notre arrivée. Je suis dépitée, car comment sortir en ville avec une couche sur les fesses aussi visible et bruyante sans que cela se remarque ? Impossible de sortir en blouse, ce serait ridicule, et ma garde robe ne contient que des pantalons ou des jupes courtes qui ne pourront pas cacher la couche que je porte en permanence. La ceinture de chasteté, elle, reste invisible et mes copines n'ont pas ce problème.

Le soir, les "cinq" se trouvent réunies dans ma chambre et nous discutons de cette fameuse sortie. Aucune d'entre nous ne veut prendre le risque que des passants aperçoivent nos couches sous nos vêtements dans les rues de Limoges. La mort dans l'âme nous décidons de renoncer à cette sortie, lorsque mademoiselle Smith entre dans la chambre. Elle nous demande le sujet de notre discussion et nous lui expliquons la situation. A notre grande surprise, elle nous indique qu'une couche peut très bien être invisible sous une jupe longue et ample, recouverte par un pull lâche et un peu long. Mais je lui réponds que nous n'avons pas ce type de vêtements.

  • Je peux vous en prêter à toutes les cinq pour demain si vous voulez, nous dit-elle.

Lisa fit remarquer que le bruit de plastique si caractéristique des couche-culottes que nous portons est quasiment aussi inquiétant que la forme rebondie de nos fesses avec nos couches.

  • J'ai là aussi la solution, nous dit mademoiselle Smith, je suis en contact avec plusieurs fabricants de couches et je dispose de modèles dont l'enveloppe extérieure en plastique a été remplacée par un tissu de coton imperméabilisé. Ces couches ne font quasiment aucun bruit lorsque vous bougez. - Pourquoi ne pas utiliser pour une fois un modèle plus fin, recouvert par une culotte de coton ? proposais-je.
  • Non, répond mademoiselle Smith, il vous faut un minimum d'épaisseur, car vous serez absente toute la journée, le pire serait que vous ayez des fuites suite à deux pipis consécutifs dans la même couche.

Nous sommes toutes séduites par l'idée et remercions par avance mademoiselle Smith. Celle-ci nous donne rendez-vous le lendemain matin ici-même pour, avec Catherine et Stéphanie, nous mettre nos couches et nous aider à nous habiller.

Le lendemain matin, mademoiselle Smith est dans ma chambre tandis que les deux infirmières s'occupent des quatre autres filles. Je suis allongée dans mon lit et comme chaque matin, ma couche est mouillée, mais fort heureusement je ne fais jamais caca la nuit sans m'en rendre compte. Mademoiselle Smith le sait et s'inquiète de savoir si je pourrai tenir jusqu'à mon retour sans faire popo dan ma couche. Je n'en suis pas sûre et elle défait ma couche, me glisse un suppositoire dans l'anus puis referme la couche. Elle patiente quelques minutes et me demande de m'accroupir sur le lit et de pousser. Je m'exécute et donne des coups de reins, tandis que mademoiselle Smith pose sa main sur ma couche et accompagne mon mouvement tout en massant mon ventre de son autre main. Rapidement ma miction sort et se répand dans ma couche. Mademoiselle Smith retire ma couche souillée, me nettoie et sort d'un carton la fameuse couche "sensation tissu". Elle est relativement épaisse et cela m'inquiète, mais elle est effectivement très "silencieuse" et une fois habillée des vêtements amples fournis, on ne peut pas remarquer la présence d'une couche-culotte sous ma jupe.

  • Le tout, me dit mademoiselle Smith, est maintenant de ne pas attirer de garçons audacieux qui pourraient découvrir la couche en glissant une main sous ma jupe.

Je rejoins mes copines, enchantées comme moi et nous retrouvons le reste de la promo au car, les filles sont surprises de nous voir ainsi, mais heureuses que nous puissions les accompagner.

La journée est formidable et nous revenons le soir tout à fait comblées. Je n'ai fait pipi qu'une fois dans ma couche et celle-ci ne m'a pas trahie.

Le soir, dans ma chambre, je remercie mademoiselle Smith chaleureusement pendant que celle-ci me remet une couche "classique" avec une couche droite pour la nuit. C'est étonnant comme l'on change vite car trois semaines plus tôt je découvrais avec horreur cette même couche culotte, partie de mon déguisement et ce soir je remercie une femme de me mettre cette même couche. Je repense longuement à cette journée et spécialement à un groupe d'étudiants que nous avons croisés au restaurant à midi. L'un d'entre eux était très mignon et si ce n'est la couche que je portais je ne l'aurai pas repoussé s'il m'avait abordé.

A cette pensée, je m'échauffe un peu dans mon lit, caresse mes seins dont les tétons se dressent et porte mes mains à ma couche dans l'espoir de pouvoir glisser ne serai ce qu'un doigt jusqu'à mon sexe. Peine perdue, la couche toujours très minutieusement ajustée par mademoiselle Smith est beaucoup trop serrée. Très excitée maintenant, je passe mes jambes de part et d'autre d'un des pieds de lit et le frotte vigoureusement contre ma couche dans l'espoir d'en ressentir l'effet sur ma vulve ou mon clitoris. Mais là encore sans résultat, la couche est trop épaisse pour transmettre la moindre sensation. Je suis horriblement frustrée et le massage de mes seins ne parvient pas à m'apaiser. Je repense avec envie au vibro masseur des anciennes qui m'avait si bien libéré des mes tensions dans un orgasme que je n'avais jamais encore vécu. Mademoiselle Smith, que je prenais pour une perverse lesbienne semble plutôt fantasmer sur les jeunes filles contraintes à une régression par le port de couche-culottes bien visibles, qui les maintiennent en état de dépendance à ses soins et accessoirement les privent de toutes relations sexuelles. Elle semble avoir des goûts très précis que ce soit en terme de physique qu'en terme de couches. Si elle préfère les couche-culottes épaisses, c'est surtout que celles-ci ne se plient pas lorsque l'on serre les cuisses et que leur présence ne peut pas échapper, même avec l'habitude, à celle qui en porte. L'aspect psychologique d'être sous la dépendance de la personne qui vous met et retire votre couche est tout aussi important que la privation d'accès à ses parties les plus intimes.

Le lendemain matin, malgré la nuit de sommeil ma tension n'est pas retombée et j'essais à nouveau de me masturber contre le pied de lit. Fort occupée, je ne remarque pas l'entrée de mademoiselle Smith venue pour me changer. Lorsque je l'aperçois, il est trop tard et je suis morte de honte qu'elle m'ait découverte dans cette posture. Elle ne dit rien et défait ma couche et instinctivement je porte ma main droite vers mon sexe, alors que je dois garder mes mains paumes en l'air de part et d'autre de ma tête lorsque que mademoiselle Smith me change. Celle ci d'un geste sec me tape sur la main et me demande de me remettre en position. Je m'exécute à contre coeur et elle fixe une nouvelle couche prestement. Une fois changée, mademoiselle Smith me tend un sac avec des vêtements et me demande de les enfiler. A ma grande surprise, il s'agit d'une tenue d'écolière japonaise avec chemisier blanc, petit foulard, jupe plissée bleue marine assez courte, chaussettes blanches épaisses et montantes et petits souliers. Je trouve également un petit cache-coeur de dentelle blanche. Une fois habillée elle me demande de l'accompagner et m'indique que nous allons passer ce dimanche chez elle. Je suis très surprise et je la suis docilement. La jupe que je porte est juste assez longue pour masquer ma couche blanche, mais trop juste cependant et chaque mouvement dévoile la couche que je porte.

Nous arrivons rapidement à la maison de mademoiselle Smith sans rencontrer âme qui vive à mon plus grand soulagement, bien aidées par l'heure très matinale. Dans le salon, mademoiselle Smith me fait asseoir et s'assoit également en face de moi. Elle a une vue directe sur ma couche et sur mon cache coeur qui ressort nettement sous le chemisier très transparent.

  • Tu es très mignonne, Alice. Ansi habillée, on dirait vraiment une petite collégienne.

Je rougis comme à mon habitude, mais je ne dis pas un mot cherchant à deviner où elle allait en venir. Elle poursuit :

  • Tu sais maintenant que je suis en contact avec plusieurs fabricants de couches pour lesquels je teste des nouveaux produits, mais ce que tu ne sais pas encore, ma petite Alice, c'est que j'ai des contacts dans le monde entier avec des gens qui partagent les mêmes centre d'intérêts que moi.

Elle se lève, se dirige vers la bibliothèque où se trouve plusieurs rangées d'albums photos, elle en prend deux et viens s'assoire, sur le canapé à mes côtes. Elle ouvre le premier album et je découvre page après page des dizaines de photos de jeunes filles habillées en écolières comme je le suis actuellement et portant des couches, dans différentes poses, debout jupe légèrement relevée, assises au sol jambes écartées, etc. Le deuxième album représente cette fois si d'autres jeunes filles, toutes très belles comme dans l'album précédent, mais habillées en bébé avec des barboteuses, des grenouillères etc.

Je comprends bien vite que je suis ici pour compléter les albums photos. Mademoiselle Smith me met tout de suite le marché en main :

  • Tu as pu constater, Alice, que sur ces photos, les filles sont belles et dans des positions coquines ou innocentes mais qu'elles sont toujours souriantes. Aucune scène de nu ou d'humiliation. On ne peut forcer personne à poser ainsi, mais si tu acceptes de poser pour moi, je saurai te remercier.

Je comprends alors beaucoup de choses. Les correspondant étrangers de mademoiselle Smith doivent échanger des photos avec elle car j'ai vu dans ces deux albums, des filles de toutes races, de jeunes africaines comme d'adorables asiatiques. Pour m'éclairer sur la nature de ses remerciements mademoiselle Smith va chercher un objet que je reconnais immédiatement comme le vibromasseur utilisé par les anciennes et comme par réflexe, à sa vue, je porte mes deux mains sur ma couche. Mademoiselle sourie et me dit :

  • Ce geste vaut toutes les réponses, ma belle Alice. Viens, nous descendons à la cave.

Je la suis et descends l'escalier de la cave et découvre stupéfaite plusieurs pièces aménagées en studios de photos avec des décors différents, une véritable chambre pour bébé adulte en autre. Sur un fond bleu, elle commence à prendre des photos me donnant des instructions pour les positions que je dois prendre. La séance dure ainsi toute la matinée.

Après le repas, cela recommence, mais dans des tenues différentes. Je découvre ainsi une garde robe complète de vêtements de bébés à différentes tailles adultes.

En fin d'après-midi, je suis fatiguée et mademoiselle Smith me demande si j'ai mouillé ma couche. Je réponds que oui et elle m'allonge sur un lit, me défait la couche et prend quelques photos supplémentaires. Je suis actuellement habillée dans une nouvelle tenue d'écolière, ma jupette est rabattue et une fois ma couche définitivement retirée, Mademoiselle Smith m'entrave les pieds et les mains aux montants du lit. Elle me place un bâillon boule rouge dans la bouche, puis attrapant un caméscope, elle le fixe sur un pied et le positionne de façon à me filmer entièrement. Avec une lingette, elle entreprend un long et minutieux nettoyage en évitant avec soin mon clitoris. Je gémie dans mon bâillon plus de frustration que de plaisir et mademoiselle le sait bien. Elle attrape une couche propre qu'elle me glisse sous les fesses puis me demande si je veux prendre du plaisir avec un vibro. Je hoche énergiquement de la tête, folle de frustration, et la caméra ne rate rien de cette scène où je sollicite moi-même ma propre humiliation.

Glissant deux doigts dans mon vagin, elle les retire couverts de mouille et m'indique que je n'ai visiblement pas besoin de lubrifiant pour le vibro. Enfin, lentement, elle me pénètre avec le vibro, referme délicatement la couche et pose le boîtier de commande à côté de moi sur le lit. Elle ne le met pas en route et quitte la pièce. Je suis folle de rage car immobile, le vibro ne me fait pas suffisamment d'effet. Je me débats et des cris de rage étouffés sorte du bâillon boule. Mademoiselle Smith revient finalement pour mettre en route le vibro. Je me cabre de plaisir sous l'œil amusé de mademoiselle Smith qui détache rapidement mon bâillon dès qu'elle est sûre que je vais crier de plaisir, je suis rapidement secouée de spasmes puis je retombe sur le lit. Elle arrête le vibro, me détache, m'enlève le vibro et change ma couche trempée de mouille.

J'ai du mal à remonter l'escalier de la cave. Je sors et regagne l'école seule.

Les jours se passent, rythmés par les cours qui sont au demeurant très intéressants. Je n'ai jamais évoqué avec les quatre autres filles la journée passée au domicile de mademoiselle Smith, ne sachant pas si elles y sont passées également. En tous cas, aucune d'entre elles ne m'en a parlé alors que nous sommes très proches du fait de ce que nous vivons depuis notre arrivée à l'école. Je réalise qu'entre les vidéos réalisées par les anciennes lors de l'intégration et les photos et vidéos qu'elle réalise elle-même, elle doit posséder un stock de documents compromettant énorme sur un nombre de filles considérable. Avec cela, impossible de lui résister.

Un soir, rentrant dans ma chambre pour me changer, elle arrive avec un ordinateur portable sous le bras et, le mettant en route elle me montre les photos faites ce fameux dimanche. Je suis à l'image des photos que j'avais vues dans ses albums, et j'apparais dans la multitude de tenues et positions qu'elle m'a fait prendre. Je constate qu'elle a un grand sens de l'esthétisme, que les couches sont toujours bien tendues sur les fesses sans un plis et que manifestement elle adore photographier en contre-plongée pour révéler la couche qui se cache sous la jupe de la sage collégienne à laquelle je ressemble. Les couettes et les nœuds dans les cheveux me font paraître facilement trois ou quatre ans de moins, ce qui semble bien le but recherché. Moi qui me posais des questions j'ai bien vite une réponse, en découvrant maintenant les photos faites de quatre autres modèles, à savoir Emilie, Laure, Jeanne et Lisa.

Chapitre 4

Les semaines filent vite et mademoiselle Smith semble rassasiée de photos, car aucune des cinq filles n'est retournée à son domicile pour d'autres séances de poses.

Un autre péril approche maintenant à grand pas, les premières vacances, celles de Noël. Je dois comme mes camarades rentrer à la maison pour quinze jours et je redoute cette épreuve, car je ne peux désormais plus me passer de couches la nuit et, ne pouvant pas être changer comme à l'école dans la journée, je redoute que l'on ne me mette une ceinture de chasteté avant de quitter l'école.

Le matin du départ, c'est effectivement le sort qui est réservé aux cinq filles en couches, nous sommes enfermées dans les mêmes ceintures que les autres filles de la promo. Mademoiselle Smith me glisse un paquet de couche-culottes pour la nuit que je place au mieux de mes affaires dans mon sac et me souhaite de bonnes vacances.

De retour à la maison, je suis accueillie par mes parents et ma petite soeur, blanche, qui n'a qu'un an de moins que moi et qui est en terminale. La ceinture ne me pose aucun problème, mais je dois faire extrêmement attention le soir, lorsque je mets ma couche, de ne plus quitter mon lit pour que personne ne me croise lorsque que je la porte. Chaque matin, je glisse ma couche mouillée dans la benne à ordure, qui se trouve heureusement juste devant la maison.

La principale alerte arrive le dernier jour des vacances lorsque Blanche déboule dans ma chambre alors que je porte encore ma couche et que je suis dans mon lit. Elle semble ne pas vouloir quitter la chambre avant que je ne me lève et je suis finalement sauvée par maman qui l'appelle depuis la cuisine.

Pendant les vacances, ma soeur m'a posé beaucoup de questions sur mes études et sur ma vie étudiante, visiblement envieuse, elle qui reste seule à la maison avec les parents.

De retour à l'école, la vie reprend, il me faut cependant être de plus en plus attentive pour contrôler ma vessie car dès que je suis un peu fatiguée, j'ai tendance à mouiller ma couche sans le vouloir en pleine journée.

La fin de l'année est maintenant proche et l'école organise une journée portes ouvertes pour faire découvrir ses infrastructures à de futures étudiantes. Je suis extrêmement nerveuse car mes parents m'ont écris qu'il faisait le déplacement avec Blanche qui souhaite m'imiter et faire également des études de puériculture. Je suis accablée à l'idée que ma petite soeur puisse vivre le même cauchemar que moi et je suis résolu à tout faire pour la dissuader, mais cela ne résous pas mon problème immédiat qui est de masquer à mes parents mon état et le fait que je porte en permanence une couche directement sous ma blouse. Mademoiselle Smith nous a bien précisé qu'il n'était pas question de porter une ceinture ce jour là.

A l'approche du jour J, je suis très angoissée. Malgré le beau temps, j'ai choisi de porte une blouse d'hivers dont le tissu est plus épais et moins transparent que le modèle "été" mais je n'ai toujours pas de solution pour masquer le bruit de la couche. Le matin même, je suis provisoirement sauvée par mademoiselle Smith qui arrive avec une des fameuses couche "tissu" que nous utilisons lors de nos sorties extérieures. Je la remercie chaleureusement et part à la rencontre de ma famille beaucoup plus sereine. Je fais visiter à Blanche et à mes parents l'ensemble de l'école et ma chambre. La journée se passe pour le mieux lorsque nous croisons mademoiselle Smith. Je la présente à ma famille et je croise le regard que celle-ci porte sur Blanche. Lorsque ma soeur lui annonce qu'elle hésite à entreprendre des études de puériculture, je la voie nettement réagir et je comprends que ma petite soeur est parfaitement au goût de la professeur et qu'elle imagine très bien la voir rejoindre son album photo personnel. Je suis motivée comme jamais pour éviter ce sort à ma petite soeur dès que possible. Appelée à cet instant par la soeur Thérèse, je les quitte quelques instant.

Le soir venu et ma famille repartie, je suis seule dans ma chambre et réfléchie aux arguments que je dois employer pour faire changer le choix de Blanche, sans pour autant lui avouer la réalité de ce que je vis car cela me serait vraiment très pénible. Mademoiselle Smith apparaît pour me changer une couche particulièrement mouillée, mais qui a tenu toute la journée. Elle me parle de la journée et de la rencontre avec ma famille. Cette entrée en matière m'inquiète, mais je ne dis rien et laisse venir.

  • Ta petite soeur a l'air très motivée pour rejoindre l'école l'année prochaine, me dit-elle malicieusement.

J'explose et je lui annonce que je ferai tout pour que cela n'arrive pas.

  • Tu as tort, me dit-elle, elle est très jolie et je suis sûre que ces petites fesses porteront très bien la couche-culotte. Je te conseille de ne rien faire pour l'empêcher d'intégrer l'école, elle m'a confié son adresse email pour que je lui adresse le dossier de candidature, tu ne voudrais tout de même pas que par mégarde je lui adresse également quelques photos de sa grande soeur ?

Cette femme est vraiment machiavélique et je suis vraiment piégée, sans compter que je dépends toujours d'elle pour me soulager une fois par semaine de ma frustration sexuelle et que je ne me vois pas rester en couche sans cette soupape de sécurité, je deviendrai folle.

Nous nous préparons maintenant à partir pour différents hôpitaux français pour nos deux mois de stages d'été, et comme pour les vacances je porte une ceinture. Une élève de deuxième année comme moi en couches et donc jolie me prévient que le plus difficile sera de résister aux assauts des médecins qui ont la main leste et qui adorent se "taper" les puéricultrices stagiaires, tout un programme.

Fin juillet, au milieu de mon stage, une lettre de Blanche m'informe qu'elle est admise à l'école Jeanne d'Arc et qu'elle se réjouit de venir me rejoindre. Je suis effondrée et me sens lâche de ne pas avoir eu le courage de la prévenir de ce qui l'attends mais avais-je vraiment le choix ? Le même jour je reçois un appel téléphonique de mademoiselle Smith qui se félicite par avance de l'arrivée de Blanche en septembre et qui me menace des pires représailles si je lui dévoile quoi que se soit de la période d'intégration de l'école qu'elle devra subire dans un peu plus d'un mois.

Mon stage terminé, je vais rejoindre l'école pour la rentrée. L'intégration de la nouvelle promotion a débutée depuis deux semaines et chaque jour je pense à la pauvre Blanche et il me tarde maintenant de la retrouvée.

Le jour de la rentrée, je l'aperçois dans la cour et comme je m'y attendais, je distingue rapidement la forme caractéristique d'une couche sous sa blouse blanche, elle tombe dans mes bras et éclate en sanglots. Mademoiselle Smith nous rejoint et nous demande de la suivre à l'infirmerie. Devant Blanche, obligée d'assister à la scène, elle me retire ma ceinture, me rase le pubis, me crème me talc et me met une couche-culotte avec deux couches droites à l'intérieur.

  • Il faut bien cela pour que tu retrouves au plus vite les bonnes habitudes, me dit-elle. Je suis vraiment contente que ta soeur nous ait rejoint, je pense que nous allons beaucoup nous amuser.

Le soir même Blanche est autorisée à venir dans ma chambre et elle me raconte les quinze derniers jours, après que je me sois excusée de ne pas avoir pu la prévenir. Elle comprend parfaitement et en veut surtout terriblement à l'école, aux sœurs perverses et vénales et à mademoiselle Smith. Comme moi, elle m'explique n'avoir pas pu résister à sa mise en couche, mais elle avait finalement fait le choix de la ceinture, choix que mademoiselle Smith a changé en falsifiant le document de réponse. Elle ne peut cependant rien faire car elle dispose d'une vidéo qui, comme pour moi, la montre se faire changer sa couche parfaitement consentante, puis se masturber, profitant d'une absence volontaire de quelques minutes d'une ancienne en train de la changer.

Nous étions en train de discuter lorsque mademoiselle Smith entra dans la chambre pour nous changer. Elle commença par moi puis vient le tour de Blanche dont je vis le sexe rasé et les fesses talquées. Je redécouvrais à quel point elle est très belle et j'imagine maintenant le pire pour elle connaissant les goûts de notre professeur. J'avais raison car, avant de partir, nous fûmes invitées dès le dimanche suivant dans la maison de cette perverse.

Dimanche arrive et Blanche n'est pas surprise en entrant dans le salon de mademoiselle Smith, car j'ai eu le temps de lui expliquer ce qui risquait de se passer. Nous sommes cependant surprises toutes les deux, car un homme se trouve là également, homme que je n'ai jamais vu auparavant à l'école ou dans le village. Blanche et moi sommes habillées en écolières et plus encore que moi, ma soeur paraît ne pas être plus âgée qu'une jeune adolescente. Mademoiselle Smith, imperturbable nous fait asseoir sur le canapé, en face de cet homme qui paraît âgé d'une quarantaine d'année, physique agréable. Ainsi positionné il ne peut pas ne pas voir nos couches, visibles bien que nous essayions l'une et l'autre de serrer nos cuisses au maximum. Mademoiselle Smith nous présente notre "papa" qui l'assistera aujourd'hui. J'avais beau avoir prévenu Blanche, je m'attendais à tout sauf à cela, la seule chose qui nous ait été épargnée jusque-là étant d'être changée en présence d'un garçon.

Nous descendons à la cave et mademoiselle Smith entraîne Blanche dans une pièce et ferme la porte derrière elles. Je reste seule avec cet homme qui m'indique la chambre de bébé aménagée. Il me place dans le parc au milieu de jouets et s'assoit devant une télévision qui retransmet ce qui se passe dans la pièce d'à côté. Je peux moi aussi apercevoir Blanche qui enchaîne les poses pour des photos dans toutes sortes de tenues et prendre des positions imposées dont certaines avec les jambes très écartées, ne dissimulant rien d'une couche toujours impeccablement mise.

La séance finie, nous nous retrouvons tous les quatre dans la plus grande des pièces qui comporte un lit adulte double, une table et des chaises. Blanche doit s'assoire sur une chaise sur le côté du lit et Mademoiselle Smith tout en prenant sa caméra, m'indique de m'allonger sur le lit pour que mon papa puisse changer ma couche. Je suis très nerveuse, mais machinalement je me mets dans la position habituelle, jambes écartées, bras posés sur le lit de part et d'autre de la tête, soumise à cet homme. Mademoiselle Smith fixe la caméra sur un pied, enclenche l'enregistrement et je fixe désespérément le bouton rouge qui clignote. Elle vient se placer derrière Blanche, une main dans son chemisier, une autre caressant sa couche sous sa jupe tout en l'embrassant dans le cou. Je détourne les yeux de ce spectacle, car l'homme, relevant ma propre jupe, commence à défaire ma couche. Une fois la couche retirée, il commence à me caresser le sexe en insistant sur mon clitoris. Je tente d'interposer une main, mais il me la remet fermement en place de sa main gauche. Je m'attends au pire mais en fait, il se contente de prendre une nouvelle couche et de me l'ajuster sur les fesses avec une expertise certaine. Ce n'est donc pas la première fois qu'il joue au papa. C'est maintenant au tour de Blanche de se faire changer sa couche par cet homme, non sans que celui-ci lui ait copieusement massé le sexe, ravit des gémissements provoqués. La séance prend fin et nous regagnons l'école au plus vite.

De retour dans ma chambre, nous tenons conseil avec les quatre autres filles de ma promo en couches, Blanche, bien que de la nouvelle promo, est également parmis nous, étant ma petite soeur. Nous racontons aux filles notre journée et nous parlons de nos stages respectifs, ce que nous n'avions pas pu faire depuis notre retour à l'école. Plusieurs d'entre nous ont échappé de peu au fait que l'on découvre leur ceinture sous leur culotte, largement harcelées par des médecins ou des internes entreprenants. Plus inquiétant encore, nous découvrons que nous avons toutes mis plus d'un mois, sans être obligées de porter des couches pour retrouver le contrôle de notre vessie la nuit. Et encore après ce délais, plusieurs filles ont eu des accidents nocturnes. Cette incontinence progressive, mais bien réelle, nous inquiète toutes maintenant que nous sommes à nouveau en couche 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Nous sommes toutes convainques que si nous ne trouvons pas une solution rapide, nous risquons d'être définitivement incontinentes à notre sortie de l'école, et que certaines anciennes restées en couches pendant trois ans ont du le rester. Blanche indique qu'il faudrait pénétrer dans la maison de mademoiselle Smith et détruire tous les albums photos ainsi que les casettes vidéos. Lisa lui répond que cela est impossible car nous ne savons pas où se trouvent les négatifs, ni même si mademoiselle Smith ne stocke pas des photos numériques et autres vidéos sur des ordinateurs en dehors du portable que nous lui connaissons toutes.

  • Non, dis-je, l'unique moyen serait de posséder le même type de documents compromettant que ceux dont elle dispose sur nous pour la faire chanter à notre tour en menaçant de les révéler.

Emilie rétorque que c'est impossible car même en kidnappant notre professeur et en l'obligeant à porter des couches, ce qui est largement réalisable à nous six, nous n'obtiendrons jamais d'images où l'on aurait l'impression qu'elle est réellement incontinente et ou l'on verrait mademoiselle Smith se faire changer la couche sans offrir de résistance. Les idées fusent et nous adoptons la stratégie de recueillir le maximum d'informations pour pénétrer chez mademoiselle Smith en son absence et essayer de trouver un moyen de la faire chanter en retour.

Chapitre 5

Ainsi, pendant plusieurs semaines nous pistons ses allées et venues, nous parvenons grâce à Lisa dont le père est serrurier à obtenir un pass pour rentrer dans la maison de notre professeur et nous décidons de pénétrer chez elle dès le samedi suivant, pendant qu'elle profitera du car pour faire des courses à Limoges. C'est Emilie et moi qui somment désignées pour cette mission, les autres donnant le change en se rendant à Limoges en portant les fameuses "couches tissus" que continue à nous fournir mademoiselle Smith.

Le samedi matin, le car parti, nous entrons sans difficultés dans la maison de notre professeur et nous décidons de nous attaquer dans un premier temps aux très nombreux albums photos du salon. Nous ne savons pas exactement quoi chercher, mais notre but est de découvrir des éléments pouvant nous permettre de faire chanter cette femme perverse.

Nous découvrons des photos classées par thèmes, beaucoup présentant des jeunes filles habillées en écolières et en couche-culotte, mais aussi des filles attachées et langées de force, beaucoup de photos prises dans la rue de jeune filles portant des couches sous leur jupe ou leur pantalon. Dans le deuxième rayonnage, nous trouvons des photos de jeunes africaines, puis ensuite de petites asiatiques qui paraissent particulièrement jeunes. Nous avons déjà vu des centaines de clichés, mais rien encore qui nous intéresse dans notre recherche.

Les albums terminés, nous descendons à la cave où nous savons trouver la collection de casettes vidéo. Je commence à les visionner sur la télé pendant qu'Emilie s'attaque à l'ordinateur portable qui se trouve dans la pièce d'à côté. Je découvre des vidéos que j'identifie aisément car elles ont été tournées dans l'école à l'occasion de l'intégration. Je découvre ainsi des vidéos d'élèves actuellement en troisième année et se trouvant donc encore à l'école. Les cassettes sont classées par années, et je visionne donc en accéléré les quinze dernières années. Sur la dernière cassette, je suis stupéfaite de découvrir que l'une des anciennes en train de mettre une couche à une nouvelle étudiante n'est autre que mademoiselle Smith elle-même ! Elle est parfaitement reconnaissable. Elle aurait donc été élève à l'école avant d'en devenir une des professeur. J'appelle Emilie qui se trouve dans la pièce d'à côté pour lui montrer ma découverte. Elle est aussi surprise que moi et m'indique qu'elle a découvert elle aussi beaucoup de photos et de vidéos dans l'ordinateur, documents semblant être le fruit des envois des correspondants étrangers de mademoiselle Smith.

L'heure tournant, nous décidons de quitter la maison en nous promettant de revenir à nouveau.

Le soir, après que les infirmières nous aient changé notre couche, nous nous retrouvons toutes les six dans la chambre d'Emilie. Nous faisons part de notre découverte aux autres filles. Nous estimons qu'il est raisonnable de penser que mademoiselle Smith a elle aussi subi l'intégration "maison" et qu'il doit bien exister des photos ou des vidéos d'elle en couches, reste maintenant à savoir si elle en conserve chez elle. Il nous faut retourner à son domicile jusqu'à ce que nous trouvions quelque chose. Ces sont Blanche et Lisa qui iront à leur tour samedi prochain chez mademoiselle Smith pour faire un roulement.

Le jour J, nous prenons le car avec notre professeur pendant que Blanche et Lisa rentre dans la maison. Elles se dirigent directement vers la cave pour reprendre notre travail de fourmis. Quelques minutes plus tard, des bruits de pas venant de l'escalier remontant à la maison les alertes, il y a quelqu'un qui descend à la cave. Il n'y a pas d'autres issues, les deux jeunes filles sont coincées. La porte s'ouvre sur quatre femmes entre trente et quarante ans que ni Blanche, ni Lisa ne connaissent. L'une d'elle :

  • Tiens tiens, que font ces deux petites filles dans un endroit où elles ne devraient pas se trouver toutes seules ? La curiosité est un bien vilain défaut et nous allons devoir vous punir.

Les deux filles sont entraînées par ces femmes dans la pièce principale de la cave où se trouve le lit double. Elles sont prestement déshabillées, et sont maintenant debout devant ces quatre femmes ne portant plus que leur couche.

Blanche est rapidement attachée sur une chaise, pieds et mains liées, puis un bâillon boule rouge est rapidement mis en place, empêchant la moindre parole. Lisa est quant à elle attachée sur le lit, jambes et bras écartés, le même bâillon lui barre le visage. L'une des femmes lui enlève sa couche restée propre. La découvrant maintenant entièrement nue, elle la complimente :

  • Tu es très jolie ma chérie, tu me plais beaucoup.

A ces mots la femme se déshabille à son tour sous les regards incrédules de Lisa et Blanche, puis elle s'allonge sur la pauvre Lisa. Cette femme lui lèche rapidement les seins pendant que sa main droite fouille avidement le sexe de l'infortunée jeune fille. Lisa se débat et cris en vain, seuls des murmures étouffés sortent de son bâillon. Après de longue minutes le bâillon de Lisa est retiré, la femme se met en position de 69 et, positionnant son sexe sur le visage de Lisa, commence de son côté à lécher avidement entrejambe de la jeune fille. Lisa essaie d'échapper à l'emprise de cette femme en remuant sa tête mais en vain. Pendant ce temps et sans que les deux infortunées jeunes filles ne le remarque, une autre des femmes s'est déshabillée à son tour et elle enfile un instrument bizarre qui se révèle être un godemiché ceinture. La première femme rassasiée se retire et remet le bâillon de Lisa qui voit horrifiée s'avancer la deuxième femme. Elle s'allonge sur elle et le godemiché trouve rapidement l'entrée du vagin de la pauvre Lisa. Celle ci pleure maintenant à chaude larmes pendant que le godemiché s'enfonce en elle à chaque coup de reins de la femme. Le calvaire dure quinze bonnes minutes.

La femme se retire enfin et la première revient vers Lisa avec une couche-culotte et une couche droite. Elle positionne les deux couches sous les fesses de Lisa, mais ne referme pas la couche culotte immédiatement. Elle prend une boîte et en sort des boules de geisha. Il s'agit de deux boules rouges reliées entre-elles par un fil qui s'entrechoquent dans le vagin et qui provoque des sensations intenses à celle qui les utilise. Sachant son vagin très sensible suite au viol prolongé par le godemiché, Lisa réalise qu'elle va horriblement souffrir. Elle ne peut cependant rien faire et les boules sont rapidement introduites au fond de son vagin, puis la couche est refermée. Elle est finalement détachée du lit et attachée sur une chaise comme Blanche. C'est maintenant au tour de cette dernière de subir le même sort part les deux autres femmes qui la regardent avec appétit. La journée se poursuit ainsi par toutes sortes de jeux lesbiens qui ne laissent aucun répit aux deux jeunes filles.

Le soir venu, les filles qui se sont rendues à Limoges sont surprises de ne pas retrouver Lisa et Blanche. Le dîner est servi sans que les deux filles ne réapparaissent et le soir ce sont les deux infirmières qui viennent changer les couches des quatre autres filles maintenant très inquiètes. Elles leur disent cependant qu'elles sont toutes les quatre attendues demain-matin au domicile de mademoiselle Smith. A ces mots, les filles comprennent que Lisa et Blanche ont été découvertes.

Le lendemain-matin elles sont accueillies par mademoiselle Smith dans son salon. Elles découvrent les quatre autres femmes présentent depuis la veille. Celles ci sans un mot s'approchent des quatre jeunes filles et leur mettent un bâillon boule puis leur attachent les mains dans le dos, direction la cave. Dans la grande pièce, les autres jeunes filles découvrent finalement Blanche et Lisa bâillonnées comme elles et attachées chacune à une extrémité de lit, allongées, les jambes relevées et attachées au plafond. Leurs fesses se touchent, mais les nouvelles venues ne comprennent pas immédiatement pourquoi les deux filles se trémoussent et gémissent. Elles découvrent finalement un godemiché double de couleur rose dont une petite partie apparaît entre les deux sexes des infortunées jeunes filles, violées par ce god et qui, cruellement se violent mutuellement à chacun de leurs mouvements. Les filles sont reparties dans les différentes pièces pour une journée qu'elles ne sont pas prêtes d'oublier.

La dimanche suivant, Blanche et moi sommes à nouveau conviées chez Mademoiselle Smith. Nous retrouvons avec elle deux des quatre femmes de la semaine précédente. Mademoiselle Smith est persuadée que nous sommes à l'origine de la rebellion des filles en couches et elle entend bien nous le faire payer. Nous sommes rapidement entraînées dans la cave. Nous sommes rapidement entièrement déshabillées, puis les mains attachées en l'air au plafond de la pièce. Mademoiselle Smith se glisse derrière Blanche et commence à lui caresser les fesses et la poitrine. Elle passe une main entre ses jambes pour atteindre son sexe. Blanche serre instinctivement les cuisses mais mademoiselle Smith lui fait immédiatement écarter en menaçant de lui administrer une fessée. Toujours derrière Blanche, mademoiselle Smith la maintient contre elle de la main gauche posée sur sa poitrine tout en la masturbant de la main droite. Blanche, jambes écartées, gémit de plus en plus. J'observe la scène, impuissante, lorsque l'une des deux femmes se glisse derrière moi également et entreprend de me masturber. La pièce résonne maintenant aux sons de nos plaintes et gémissements.

Nous sommes ensuite détachées du plafond, puis je suis attachée sur le lit, allongée et les jambes maintenues attachées au plafond. Mademoiselle Smith sort le double godemiché rose et je comprends qu'elle veut installer Blanche en face de moi. Blanche le comprend aussi et tente de se débattre pendant que les femmes la force à s'allonger sur le lit. Pendant que Blanche se débat, l'une des femmes m'introduit l'une des deux extrémitées du god dans le vagin. Blanche est maintenant immobilisée et la femme n'a aucun mal à courber légèrement le god pour pouvoir le présenter devant le sexe de ma petite soeur. L'autre extrémité pénètre maintenant la pauvre Blanche.

  • C'est vraiment mignon de voir ces deux sœurs si heureuses d'être ensembles ainsi, dit mademoiselle Smith, laissons les se donner du plaisir maintenant.

Les femmes quittent la pièce.

Le soir, de retour dans ma chambre nous savons que nous resterons en couches définitivement jusqu'à la fin de nos études et que d'ici là nous continuerons à alimenter les albums et la vidéothèque de cette perverse de mademoiselle Smith.

Fin

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